Brisbane, la plus française des villes d’Australie
Vélibs, JCDecaux, mobilier urbain zone piétone en croix en plein centre-ville, recherche constante de nouvelle architecture, rien ne manque à la capitale du Queensland, aussi connue pour être la ville qui connaît le plus grand essort économique du XXIè sièce en Australie.
Deux ans avoir après quitté Brisbane, c’est assis dans la récente bibliothèque municipale « Central City Library », appelons-la la Médiathèque, que j’écris ces lignes. A ne pas confondre avec sa sœur aînée la « Queensland State Library » située sur South Bank, donc de l’autre côté de la rivière. La sœur cadette de la « City » est l’un des établissements inclus dans ce centre très design qui contient aussi d’autres features, comme on dit ici.
La Médiathèque a hérité de son concepteur les lignes les plus modernes qui correspondent bel et bien à son époque de conception, 2009. Un bémol de taille toutefois, l’utilisation de la lumière. Alors qu’à cette latitude des puits de lumière auraient été les bienvenus, c’est à grands renforts de rampes de spots que les photons nous arrivent. A ce jour je ne connais pas son bilan énergétique, mais il pourrait, ou aurait pu, être optimisé.
Je me suis posé au niveau 1, avec un vrai parquet, et des zones fonctionnelles : centre d’affaires, petits boxes de“meetings”, coin Internet (il faut être un utilisateur enregistré à la réception pour profiter du Wi-Fi).
Il existe des zones plus ou moins éclairées, que les plus éclairés d’entre nous mettront à profit pour choisir leur place à leur goût. Des bancs et tables avec prises réseau et prises électriques murales sont disponibles.
Pour venir ici depuis l’extérieur, j’ai d’abord pris le car depuis la Gold Coast. A peine une heure de trajet. Arrivé à la Gare Routière de Roma St, nous sommes accueillis par un mobilier urbain bien connu des français, et notamment des parisiens depuis juillet 2007 : les Vélibs, appelons-les vélos urbains ici.
Les stations sont fréquentes, mais encore trop limitées au centre-ville. Donnons le temps aux résidents et aux visiteurs de s’y habituer. Ce concept est nouveau en Australie, et Brisbane peut se targuer de le baptiser. Là encore, un petit bémol; puisque port du casque est obligatoire à deux-roues, il faut soit se balader avec le sien, pas très pratique ni sexy, ou bien choisir un de ces quelques vélos qui en fournissent un. Pour ces derniers je pense que le système est basé sur la confiance, comme beaucoup de choses en Australie, car rien n’empêche de ne pas le restituer en fin de course.
La Médiathèque a hérité de son concepteur les lignes les plus modernes qui correspondent bel et bien à son époque de conception, 2009. Un bémol de taille toutefois, l’utilisation de la lumière. Alors qu’à cette latitude des puits de lumière auraient été les bienvenus, c’est à grands renforts de rampes de spots que les photons nous arrivent. A ce jour je ne connais pas son bilan énergétique, mais il pourrait, ou aurait pu, être optimisé.
Je me suis posé au niveau 1, avec un vrai parquet, et des zones fonctionnelles : centre d’affaires, petits boxes de“meetings”, coin Internet (il faut être un utilisateur enregistré à la réception pour profiter du Wi-Fi).
Il existe des zones plus ou moins éclairées, que les plus éclairés d’entre nous mettront à profit pour choisir leur place à leur goût. Des bancs et tables avec prises réseau et prises électriques murales sont disponibles.
Pour venir ici depuis l’extérieur, j’ai d’abord pris le car depuis la Gold Coast. A peine une heure de trajet. Arrivé à la Gare Routière de Roma St, nous sommes accueillis par un mobilier urbain bien connu des français, et notamment des parisiens depuis juillet 2007 : les Vélibs, appelons-les vélos urbains ici.
Les stations sont fréquentes, mais encore trop limitées au centre-ville. Donnons le temps aux résidents et aux visiteurs de s’y habituer. Ce concept est nouveau en Australie, et Brisbane peut se targuer de le baptiser. Là encore, un petit bémol; puisque port du casque est obligatoire à deux-roues, il faut soit se balader avec le sien, pas très pratique ni sexy, ou bien choisir un de ces quelques vélos qui en fournissent un. Pour ces derniers je pense que le système est basé sur la confiance, comme beaucoup de choses en Australie, car rien n’empêche de ne pas le restituer en fin de course.
La place de la mairie possède également de nombreux meubles urbains, comme ces sphères. Il faut bien reconnaître que ce concept d’habiller nos villes, si fréquent dans l’hexagone, est toutefois assez spectaculaire quand utilisé ici en Australie, car si rare. On en veut plus, dans cette "mondialisation à l’envers" : le Nouveau Monde emprunte des idées venues du Vieux Continent.